Bienvenue dans La Machine !
Dans un article précédent, je vous avais déjà parlé de mon nouveau blog, La Machine à rebrousse-temps... Voici donc le deuxième article sur un classique de la SF des années 50 dont vous, lecteurs, aviez eu la primeur : La guerre des mondes.
Bonne lecture !
A.C. de Haenne
Bonne lecture !
A.C. de Haenne
Tenté (en vain) de laisser un commentaire sur "La Machine à rebrousse-temps".
RépondreSupprimerAi suivi la procédure "Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire" qui m'a fait cheminer dans une impasse circulaire d'une absurdité aussi fun que frustrante.
En gros, je ne peux pas m'inscrire parce que je ne suis pas reconnu puisque pas inscrit.
Quelqu'un pour me faire descendre du manège ?
Bon, visiblement, ça pose problème quand tu n'es ni inscrit à FB, ni à WordPress... J'avais demandé à Alexandre, l'administrateur du site qui m’héberge et qui m'a aidé à me sortir des méandres de WP, s'il pouvait régler ce problème, mais je ne sais pas s'il a eu le temps...
SupprimerBon, ça va, tu n'as pas trop la tête qui tourne ?
A.C.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerNon, ça va mais j'ai rendu mon quatre-heure quand même.
RépondreSupprimerBon, il voit ça avant la fin du week-end ! Faudra réessayer...
SupprimerAh, au fait, scifictif, tu vas aux Utopiales ?
A.C.
Visiblement, tu peux y aller !
SupprimerA.C.
Bon, il y a bien une entrée pour s'inscrire maintenant.
RépondreSupprimerHop, je m'exécute.
"Enregistrement terminé. Veuillez vérifier vos nouveaux e-mails."
Ok.
Sauf que... pas reçu d'e-mail.
Donc, nouvelle tentative.
"ERREUR : cet identifiant existe déjà. Merci d’en choisir un autre.
ERREUR : cette adresse de messagerie est déjà utilisée. Merci d’en choisir une autre."
Sérieux, le jour où la singularité technologique va émerger, j'espère qu'elle aura autant d'humour.
Sinon pas d'Utopiales, non.
Mais j'espère lire ton compte-rendu ici même.
Pourtant, moi, j'ai la notification (doublée, Hé ! Hé !) de ton inscription au blog. Bon, je ne sais pas...
SupprimerPour les Utos, dommage. Peut-être une autre fois...
En ce qui concerne le compte-rendu, ça sera après le 12...
A.C.
Essayé de ruser en demandant un nouveau mot de passe mais le résultat est le même : e-mail envoyé (?) mais pas reçu.
RépondreSupprimerBref, comme j'ai lu une théorie intéressante sur "La guerre des mondes", je me suis dit que ton article était l'occasion rêvée pour te la faire partager (par défaut, ici, en lieu et place de La Machine à rebrousse-temps).
Lu le livre il y a bien trop longtemps pour m'en souvenir mais je ne pense pas alors avoir perçu cet aspect-là.
Tu me diras s'il est perceptible ou non dans le film.
Je te cite un extrait de l'entrée "La guerre des mondes" du "Dictionnaire visuel des mondes extraterrestres" d'Yves Bosson & Farid Abdelouahab :
"L'invasion de la campagne anglaise par des Martiens, venus sur la Terre à la recherche de nouvelles ressources alimentaires, est décrite avec un réalisme saisissant par le narrateur, à la façon d'un reporter assistant en direct aux événements. Elle n'est pourtant pas le thème principal du roman.
La longue description détaillée des "Marsiens" fournit la piste à suivre"
To be continued
(cliffhangerement votre)
Argh ! Quel dommage que tu ne puisses pas laisser de commentaire là-bas !
RépondreSupprimerEn réalité, à part au tout début où l'on nous présente Mars (de loin) comme une civilisation sur le déclin, au bord de l'agonie et qui cherche une nouvelle terre où se poser, les motivations des Martiens ne sont pas très claires. A part détruire les humains pour leur piquer la Terre, bien sûr !
Attend ta suite avec impatience...
A.C.
(suite)
RépondreSupprimer" "Ils étaient formés d'un grand corps rond, ou plutôt d'une grande tête ronde d'environ quatre pieds de diamètre [...] [...] pas de narines [...] mais deux grands yeux [...] au dessous une sorte de bec cartilagineux. [...] Autour de la bouche, seize tentacule minces [...] disposés en deux faisceaux de huit chacun [formant] deux mains". La partie la plus importante de leur anatomie interne était constituée du cerveau, ainsi que de poumons, du coeur et de vaisseaux sanguins. "Aussi étrange que cela puisse paraître à un êre humain, tout le complexe appareil digestif, qui constitue la plus grande partie de notre corps, n'existait pas chez les Marsiens. Ils étaient des têtes, rien que des têtes", précise encore Wells, inspiré des idées de Darwin sur l'évolutionnisme. Car l'être que décrit Wells n'est autre que l'homme du futur, au stade final de l'évolution : un être-cerveau, dépourvu d'organes digestifs et reproducteurs, uniquement doté de mains (prolongement naturel du cerveau)."
(à suivre)
(suite et fin)
Supprimer"L'homme du futur délègue l'essentiel de ses tâches à des automates. Le stade ultime, tel que le décrit Wells, c'est un appareil locomoteur lui-même externalisé, confié à des instruments. Comme le fameux tripode (dans la partie haute duquel est logé le martien-cerveau), tout à la fois machine de guerre et de déplacement. Véritable prolongement du cerveau des Martiens, sorte d'extension biologique donnant "l'impression d'organismes vivants", cet engin fait lui-même l'objet d'une description "biomécanique". "
(...)
"Au final, Wells veut montrer que la nature reprend le dessus. La force du "Martien du futur" est en même temps sa faiblesse : étant dépourvu de défenses immunitaires, le transfert de ses fonctions biologiques à des machines spécialisées, impuissantes, ne lui sera d'aucun secours face aux microbes terrestres... Le Martien sert ici de miroir : le lecteur saura-t-il seulement prendre conscience de l'analogie suggérée par Wells ? Le roman de SF est tout le contraire de celui que l'on croit : derrière l'invasion martienne, c'est une réflexion métaphorique et une prise de conscience de la place de l'homme dans la nature que propose un Wells progressiste et humaniste."
Voili voilà...
Interessant, non ?
Oui, très intéressant.
SupprimerEn l’occurrence, le Martien tel que décrit dans le roman ne correspond que très peu à celui montré dans le film de Byron Haskin. D'ailleurs, dans la partie "analyse" de l'article sur La Machine, on voit la marionnette du Martien tel qu'on peut le voir dans le film lorsqu'il se déplace hors de son vaisseau (dans une scène de rencontre entre les protagonistes et l'alien pas piquée des vers).
Dans le film, les tripodes ont carrément disparu et on n'a aucune vision des Martiens dans leur vaisseau.
Enfin, le "truc" des microbes est ici repris afin de permettre la résolution de l'intrigue, en trois minutes chrono ! Mais dans ce film, il n'est absolument pas question du Martien comme miroir de l'humain, mais simplement de l'ennemi envahisseur qu'il faut combattre et le microbe comme miracle trouvé par Dieu pour sauver l'Homme (chrétien et blanc, comme il se doit) du fléau de l'envahisseur.
J'ai lu La guerre des mondes il y a très très longtemps. Bizarrement, j'en garde moins de souvenirs que La Machine à explorer le temps, ou l'Île du Dr Moreau. A relire, donc, surtout après ce nouvel éclairage.
Merci à toi scifictif pour cette contribution vraiment très éclairante. Et, encore une fois, c'est vraiment dommage que tu n'aies pas pu t'exprimer là-bas. En tout cas, selon le blog, tu es vraiment inscrit comme abonné.
A.C.
Ah, au fait, scifictif, tu ne te serais pas trompé dans la rédaction de ton adresse mail ?
RépondreSupprimerA.C.
Embûches, suite (et pas fin)
RépondreSupprimerFinalement trouvé l'e-mail m'indiquant mon mot de passe (mail qui avait aterri direct en courrier indésirable. Pourquoi ? Mystère...).
Je me dis "youpi !"
Sauf que depuis, j'avais redemandé un mot de passe.
Ca tombe bien, j'ai justement un second message avec un lien.
Je clic.
"Désolé, cette clef ne semble pas être valide".
Merde, je commence à avoir mal aux zygomatiques.
Bref, j'insiste, redemande un mot de passe et...
...ne reçoit pas de mail.
Non non mais, je vais y arriver, hein.
Je vais y arriver.
p.s : désolé pour le flood. N'hésite pas à nettoyer tout ça.
Surtout pas ! Cela fait très longtemps qu'il n'y avait pas eu autant de commentaires sur ce blog, alors...
SupprimerSinon, j'ai essayé de t'envoyer un message via le mail que tu avais laissé sur l'autre... et il m'est revenu ! J'essaie via Le Bélial' !
A.C.