Ghost Rider 2 : L’esprit de vengeance

Danny, jeune garçon porteur d’une prophétie, suscite la convoitise de Roarke, un homme mystérieux possédant de grands pouvoirs. On fait alors appel à Johnny Blaze pour se lancer à la recherche de l’enfant en lui proposant comme récompense de le libérer de son alter ego de Ghost Rider. Poussé par le désir de lever sa malédiction et celui de sauver le garçon, le Rider parviendra-t-il à s’affranchir de la menace de Roarke ?

Ghost Rider : Spirit of Vengeance (2012 ; 1h45) film américain et Emirati réalisé par Mark Neveldine et Brian Taylor, avec Nicolas Cage, Ciaran Hinds, Violante Placido…

Je ne serai pas aussi acerbe que l'autre odieux connard qui nous livre son interprétation haute en couleurs, comme d'habitude. Soyons clair, je suis d'accord avec cette chronique... Car Ghost Rider 2 n'est « que » Ghost Rider avec Nicolas Cage dans le rôle titre. Pas de surprise donc. On a là une adaptation d'un comics, qui reprend les recettes qui marchent, avec un acteur qui semble taillé pour ce rôle.

On avait quitté le Ghost Rider pour un dernier galop. On le retrouve dans une grange miteuse, déterré par un moine défroqué et alcoolique, adepte de la moto. Il lui fait « eh, on fait équipe ? Il faut libérer un petit garçon ? Si tu acceptes, je fais en sorte que tu sois libéré de ta malédiction. Jurée, je connais des moines ». Sauf qu'une bonne de moine dont le scribe confond son écritoire avec la tête de son chef ne m'inspireraient pas confiance à moi... Mais bref, voilà le duo lancé pour une mission de sauvetage/protection. Bien sûr, des gros méchants sont là et sont motivés par des perspectives bien à eux. Le diable rode également. Mais, à la manière des dieux mythologiques, lui aussi aime bien s'amuser avec les mortelles... si vous voyez ce que je veux dire. Bref, Ghost Rider, moines et gangs se frottent à quelque chose qui les dépasse largement.

Comme je le suggérais, ce n'est pas la peine de chercher de la subtilité. Ghost Rider 2 est un film pop corn, parfait si vous voulez de l'action, des scènes too much et des blagues potaches. Après tout, le temps passe vite et peut même être agréable. Certains moments sont poilant pour peu qu'on ne cherche pas la noirceur qui sied au personnage, en principe.

Note : II

Les Murmures.